Pathport x Les Eaux de Chanel, Paris - Riviera / FR Version
Il suffit de prononcer son nom pour voir apparaître une côte serpentant entre les Alpes et la Méditerranée. Promesse d’azur et d’éclats de soleil, la Riviera évoque une douceur enveloppante et le farniente de l’été. Gabrielle Chanel commence à se rendre sur la Riviera en 1920. Elle n’hésite pas à rejoindre Monaco en voiture avec le Grand-Duc Dimitri. D’autres fois, c’est le Train Bleu qui la conduit vers le sud : un transport rendu célèbre en 1924 par Serge de Diaghilev qui en fait un ballet éponyme dont les costumes seront confiés à Mademoiselle Chanel. Pendant cette folle décennie, on ne cesse de la croiser sur la Côte d’Azur. Un jour aux côtés du Duc de Westminster sur son yacht à Monte-Carlo. Un autre à l’Hôtel de Paris de Monaco où elle a ses habitudes. Ou encore à la Société des Bains de Mer, ce complexe hôtelier monégasque où des fêtes légendaires sont organisées. Gabrielle Chanel se rend également à Cannes où elle ouvre une boutique. Puis elle fréquente Saint-Tropez qui n’est alors qu’un port de pêche, attirant peintres et écrivains. Mais c’est un peu plus à l’Est, sur les hauteurs de Roquebrune, qu’elle ancre son point cardinal et fait construire une villa qu’elle baptise La Pausa. Elle y jette l’ancre de ses vacances. Elle y reçoit de nombreuses personnalités à l’instar de Jean Cocteau et Salvador Dalí. Dans ce Midi qu’elle aime tant, Gabrielle Chanel se tisse un canevas d’instants suspendus et de souvenirs joyeux.
Réalisé en collaboration avec Les Eaux de Chanel, le carnet de voyage “Paris-Riviera” vous invite à prendre le large, sur les pas de Coco Chanel. Ce guide vous est offert par Chanel.
Il suffit de prononcer son nom pour voir apparaître une côte serpentant entre les Alpes et la Méditerranée. Promesse d’azur et d’éclats de soleil, la Riviera évoque une douceur enveloppante et le farniente de l’été. Gabrielle Chanel commence à se rendre sur la Riviera en 1920. Elle n’hésite pas à rejoindre Monaco en voiture avec le Grand-Duc Dimitri. D’autres fois, c’est le Train Bleu qui la conduit vers le sud : un transport rendu célèbre en 1924 par Serge de Diaghilev qui en fait un ballet éponyme dont les costumes seront confiés à Mademoiselle Chanel. Pendant cette folle décennie, on ne cesse de la croiser sur la Côte d’Azur. Un jour aux côtés du Duc de Westminster sur son yacht à Monte-Carlo. Un autre à l’Hôtel de Paris de Monaco où elle a ses habitudes. Ou encore à la Société des Bains de Mer, ce complexe hôtelier monégasque où des fêtes légendaires sont organisées. Gabrielle Chanel se rend également à Cannes où elle ouvre une boutique. Puis elle fréquente Saint-Tropez qui n’est alors qu’un port de pêche, attirant peintres et écrivains. Mais c’est un peu plus à l’Est, sur les hauteurs de Roquebrune, qu’elle ancre son point cardinal et fait construire une villa qu’elle baptise La Pausa. Elle y jette l’ancre de ses vacances. Elle y reçoit de nombreuses personnalités à l’instar de Jean Cocteau et Salvador Dalí. Dans ce Midi qu’elle aime tant, Gabrielle Chanel se tisse un canevas d’instants suspendus et de souvenirs joyeux.
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